La définition d’un assemblage caractéristique de la culture d’Uruk a suscité de nombreuses discussions au cœur de la question de l’expansion urukéenne. Celle retenue aujourd’hui se fonde notamment sur les travaux de Dietrich Sürenhagen (1986) qui retient trois grands domaines caractéristiques : la poterie, les représentations figurées et l’architecture.
Amiet P. 1961, La Glyptique mésopotamienne archaïque, Paris CNRS.
Beale T. W. 1978, « Bevelled Rim Bowls and their Implications for Change and Economic Organization in the Later Fourth Millennium B.C. », JNES 37, p. 289-313.
Butterlin P. 2003, Les temps proto-urbains de Mésopotamie. Contacts et acculturation à l’époque d’Uruk au Moyen-Orient, Paris, CNRS éditions.
-
-
Forest J.D. (1987), « Les Bevelled Rim Bowls. Nouvelle tentative d'interprétation », Akkadica 53 (1987), p. 1-24.
Sürenhagen D. (1986), « The dry farming belt: The Uruk period andsubsequent developments ». In H. Weiss (ed.) The Origins of Cities in Dry-Farming Syria and Mesopotamia in the Third Millennium B.C., Guilford, Four Quarters, p. 7-43.
Suter C.E. 2014, « Human, Divine or Both? The Uruk Vase and the Problem of Ambiguity in Early Mesopotamian Visual Arts », in M. Feldman et B. Brown (éd.), Critical Approaches to Ancient Near Eastern Art, Berlin, Walter de Gruyter, p. 545-568.
Van Ess M. 2012, « Stiftmosaik », RlA 13 3/4,184-186.
Van Ess M. 2013, « Die Technik der Tonstiftmosaiken », Uruk-5000 Jahre Megacity, catalogue d’exposition, Petersberg : M. Imhof.